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Après deux premiers jours de course tumultueux avec des conditions de mer et de vent qui ont mis la flotte de la 16ᵉ Transat Jacques Vabre Normandie – Le Havre à rude épreuve, le changement de rythme a été un peu radical, hier en fin de journée, après le débordement du cap Finisterre.
Reste que si la nuit s’est déroulée un peu au ralenti, elle a permis au duo de GUYOT environnement – Water Family de panser les petits bobos du début de course, et ainsi de retrouver un bateau presque à 100% avant la suite. Une suite qui s’annonce pour le moins complexe puisque dans les prochaines 24 heures, Benjamin Dutreux, Corentin Horeau et l’ensemble de leurs adversaires vont en effet devoir choisir entre une route ouest qui pourrait se montrer payante, mais promet d’être rude, ou une route sud, plus clémente, mais par ailleurs très incertaine. |
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Crédits photos : Vincent Curutchet / Alea
Ces dernières heures, le changement de rythme a été assez radical pour les concurrents de la classe IMOCA engagés dans la Transat Jacques Vabre Normandie – Le Havre. En effet, après deux premiers jours course éprouvants pour les organismes comme pour les machines qui ont contraint plusieurs duos à faire une escale technique, voire à abandonner, la nuit a été plutôt calme, au large des côtes portugaises.
« On en a profité pour bricoler et solutionner tous les petits problèmes rencontrés sur le début de course. Benjamin a vraiment bien bossé dans des endroits du bateau compliqués. Il nous reste encore quelques trucs à gérer, mais on a néanmoins coché pas mal de points sur son job-list », assure Corentin Horeau, rappelant par ailleurs que lui et son acolyte vont prochainement également devoir s’acquitter de la pénalité de trente minutes dont ils ont écopé à la suite de la rupture accidentelle du plomb de leur radeau de survie. |
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Un choix important à faire dans les prochaines 24 heures
Si cette nuit, ça a plutôt été faiblard, on retrouve petit à petit du vent. Actuellement, on a entre 13 et 14 nœuds de vent et le bateau glisse bien. Il commence à faire un peu plus chaud et on peut tenir nos quarts sans être obligés de mettre le top de ciré, ce qui est plutôt sympa », ajoute le co-skipper de GUYOT environnement – Water Family, parfaitement dans le match depuis le départ et aujourd’hui toujours pointé en 8ᵉ position.
« On est dans le bon paquet et on joue dans un bon groupe », se réjouit le récent vainqueur de la Solitaire du Figaro qui continue, pour l’heure, de descendre vers le sud alors que derrière, certains semblent prendre la tangente.
« On pourrait choisir de partir dans l’ouest dès à présent, mais on ne perdra pas trop si on prend encore un peu de temps pour se décider. À date, clairement, le sud ne passe pas dans nos fichiers, mais la route nord-est elle aussi, un peu complexe. On sait qu’on a encore jusqu’à demain pour trancher. De plus, tant qu’on n’a pas le bateau à 100%, on préfère continuer de descendre en latitude », précise Benjamin Dutreux qui observe avec attention la concurrence.
Et pour cause, au-delà de la stratégie générale, la tactique s’annonce, elle aussi, cruciale. |
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