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Le 15 janvier 2023, l'équipe GUYOT environnement - Team Europe a pris le départ d'Alicante (Espagne) en direction du Cap-Vert pour la 14ème édition de The Ocean Race. Arrivés en 5ème position après 6 jours, 12 heures, 20 minutes et 37 secondes de course, l'équipage, mené par Benjamin Dutreux, n'a rien lâché.
Cette première étape a permis aux shippers européens de prendre leurs marques à bord de l'IMOCA pour le début de cette grande course au large.
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Crédit photo : Aurélie Denieul
Course emblématique et test ultime
The Ocean Race 2023, course du monde en équipage, regroupe deux classes de bateaux et deux parcours différents. Connue comme le test ultime d’une équipe dans le monde du sport, cette course emblématique regroupe les meilleurs marins du monde en équipage complet. D’un côté, cinq équipes se sont lancées dans la course au large en IMOCA, équipés des dernières technologies et de foils. A l’assaut du trophée The Ocean Race. Alicante, le Cap-Vert, Le Cap, Itajai, Newport, Aarhus, La Hague, Gênes…
Les équipages feront escale dans neuf villes internationales emblématiques pendant six mois de course au large… En parallèle, une flotte de six monotypes VO65 courent en trois étapes pour un nouveau trophée appelé The Ocean Race VO65 Sprint Cup en Europe (Alicante-Le Cap-Vert, Aarhus-La Hague, La Hague-Genève).
Avarie dès le départ
L’équipage GUYOT environnement-Team Europe, mené par Benjamin Dutreux et composé de Robert Stanjek, Annie Lush, Philippe Kasûske et le mediaman, Charles Drapeau, a pris le départ à Alicante le 15 janvier. Avec une météo favorable, les IMOCA sont partis dans des conditions de courses optimales. Après un départ spectaculaire, les équipages ont pris leurs marques en composant avec le collectif à bord des bateaux, en optimisant les réglages techniques et en analysant les meilleures solutions à prendre.
A bord du GUYOT environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux, les membres de l’équipe ont dû gérer, dès l’entame de la course, un problème de code zéro. Ce qui les a obligés à faire une pause pour régler le dysfonctionnement. Une fois le départ bien amorcé, la flotte a pris le large. Direction le Cap-Vert !
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Crédit photo : Aurélie Denieul
Avarie dès le départ
L’équipage GUYOT environnement-Team Europe, mené par Benjamin Dutreux et composé de Robert Stanjek, Annie Lush, Philippe Kasûske et le mediaman, Charles Drapeau, a pris le départ à Alicante le 15 janvier. Avec une météo favorable, les IMOCA sont partis dans des conditions de courses optimales. Après un départ spectaculaire, les équipages ont pris leurs marques en composant avec le collectif à bord des bateaux, en optimisant les réglages techniques et en analysant les meilleures solutions à prendre.
A bord du GUYOT environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux, les membres de l’équipe ont dû gérer, dès l’entame de la course, un problème de code zéro. Ce qui les a obligés à faire une pause pour régler le dysfonctionnement. Une fois le départ bien amorcé, la flotte a pris le large. Direction le Cap-Vert !
Une option aux Canaries qui auraient pu s’avérer payante
Si les conditions se sont avérées difficiles le long de la côte sud de l’Espagne, les skippers savaient que l’Atlantique leur donnerait du fil à retordre. Cette première étape n’a pas été de tout repos pour l’équipage européen. Les 1 900 milles, qui séparaient Alicante et le Cap-Vert, ont été riches d’enseignements pour la suite de la course sur les axes à améliorer, les solutions à trouver pour gagner en performance. Cette première étape a aussi permis à chacun de trouver sa place sur l’IMOCA, plus habitué aux courses au large en solitaire.
« Il s’est passé plein de choses entre Alicante et le Cap-Vert., raconte Benjamin Dutreux, le skipper de GUYOT environnement – Team Europe. On a eu plus de 50 nœuds au près, ce qui a mis les équipages et les bateaux à rude épreuve. On a commis quelques erreurs qui ont engendré un peu de casse matériel. C’est un peu frustrant car on a dû s’arrêter pour réparer une fois sortis du détroit de Gibraltar. Ça nous a fait perdre du temps et la course est partie par devant. »
L’équipage a fait le choix de passer à l’intérieur de l’archipel des Canaries pour tenter de rattraper les concurrents qui ont choisi de le contourner par l’extérieur. Cette option entre Fuerteventura et Gran Canaria aurait pu s’avérer payante pour le Team. Qui ne tente rien, n’a rien, comme dit si bien l’adage !
Un mental d’acier à bord
Si la performance n’a pas été à la hauteur des espérances, l’équipage n’a rien lâché durant ses six premiers jours de course. Les liens se sont renforcés au sein de cette équipe déjà soudée par ce début d’épreuve sportive.
« On doit encore beaucoup progresser tous ensemble. En équipage, tout va tellement plus vite qu’en solitaire, que l’on casse plus facilement des choses. J’ai toute ma routine en solitaire mais maintenant, il faut qu’on arrive à travailler ensemble, à ne pas aller trop vite pour ne pas faire de bêtises sur certaines manœuvres », analyse Benjamin Dutreux qui tire un des enseignements les plus importants de cette première étape.
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Crédit photo : Charles Drapeau
Tirer son épingle du jeu
Le skipper garde en ligne de mire les autres étapes à venir :
« Je n’ai pas envie d’être dernier. Ce n’est pas mon objectif ni celui du Team. On sait que le niveau de jeu est super élevé dans toutes les équipes en face de nous. On a moyen de tirer notre épingle du jeu. Il va falloir trouver les solutions pour être meilleurs. Je trouve ça bien que cette première étape nous ait piqué au vif ».
L’équipage GUYOT environnement – Team Europe a bouclé cette première étape en 6 jours, 12 heures, 20 minutes et 37 seconde de course. Et se place à la 5ème position. Depuis l’arrivée du bateau à terre, le Team a travaillé d’arrache-pied pour réparer le bateau. Le temps d’une escale courte, l’organisation a été de rigueur.
« C’est un peu sport car aucun technicien n’a le droit de monter à bord, uniquement les marins. On fait des journées énormes pour que les navigants puissent travailler sur le bateau. L’idée est que l’équipage qui fera la 2ème étape ait un bateau nickel, que ce dernier soit à 100% de ses capacités pour limiter au maximum les risques de problèmes à bord. »
Avant de repartir pour la deuxième étape le Cap-Vert-Le Cap ! |
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